Opinion - Février 2023
« Le bonheur selon la CAQ »
par André Mathieu
Notre gouvernement majoritairement élu n’a siégé que quelques jours depuis le mois d’octobre. Mais ne pensons pas qu’il est au chômage pour autant. La santé et l’éducation, l’immigration et l’industrie sont des préoccupations urgentes. Je retiens deux sujets : l’économie et l’énergie, Hydro-Québec surtout.
Ce qui rendrait M. Legault heureux, ce sont les emplois payants, le PIB par personne, pour rejoindre l’Ontario à ce sujet. La définition du PIB : « la valeur de la production moins ...
Le journal
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Opinion du mois
Texte choisi du mois
Texte choisi - Février 2023
La nature de notre canton
« Ces boues... inquiétudes et questions »
par Monique Théoret
Le 19 avril 2006, j’ai été choquée lors du visionnement du film documentaire Tabou(e) réalisé par Mario Desmarais. À l’époque, on épandait déjà un million de tonnes de boues sur les terres du Québec. Une image choc ! Il montre un sol fertilisé avec ces boues durant plusieurs années. Il n’y a plus aucun ver de terre présent, ce sol a perdu sa productivité. L’auteur est persuadé que ces boues sont un concentré de virus, bactéries et polluants.
Selon lui, 80 % des boues auraient des concentrations trop élevées en métaux lourds. Il prie les agriculteurs de refuser
Texte choisi - Décembre 2022
« Hommage à Jacqueline »
Une autre grande bénévole du Reflet prend sa retraite de notre journal. Elle qui s’implique depuis de nombreuses années.
Faisant partie du conseil d’administration dès 1988, en tant que trésorière et ce, jusqu’au début de 2010, alors qu’elle laisse sa place à Suzanne Paradis. Elle n’est pas partie très loin, puisqu’elle fut administratrice au C. A. jusqu’au printemps 2014, laissant une relève plus jeune lui succéder.
Jacqueline a participé au montage du journal depuis ses débuts, jusqu’en juin dernier. Elle est dans son élément avec crayons de couleur, règles, stencils, collages, etc., pouvant ainsi donner libre cours à sa créativité jusqu’à l’arrivée des ordinateurs. Par la suite, elle suit des cours d’ordinateur, innovation oblige.
Elle et ses complices du journal ne manquent pas d’idées pour trouver des activités de financement : bingos, épluchettes de blé d’Inde, marchés aux puces. De plus, elle ne rate pas les congrès de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ), lieu de rencontres, d’échanges avec les autres journaux du Québec, mais aussi l’occasion de lâcher un peu son fou.
Heureusement, elle continue de collaborer à notre journal par sa populaire chronique Météo locale, et nous trouve des pensées, des citations, des histoires pour combler les petits espaces. Nous pouvons dire de Jacqueline qu’elle a le journal tatoué sur le cœur depuis bien longtemps.
Catherine
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Jacqueline, je devrais dire mon amie Jacqueline. Une amitié de plus de 30 ans, c’est quelque chose qui compte dans une vie. Nous formions une belle équipe, un peu insouciante : comme pour aller acheter le premier ordinateur du Reflet. Nous ne savions pas plus l’un que l’autre de quoi nous parlions. Toute une aventure. Je me souviens des congrès de l’AMECQ où nous représentions le journal. La fête du pont couvert en 1993; il fallait être fous pour oser. Avec les autres du Reflet, nous avons osé et réussi. Par cet événement, tous ensemble, nous avons ouvert une porte sur le tourisme à Lingwick. D’autres ont suivi.
Nous avons siégé ensemble au conseil municipal… pas toujours facile, la vie au conseil, mais nous avons survécu.
Jacqueline, tu as longtemps été ma source de référence pour tout ce qui touche à Lingwick, une véritable encyclopédie de la vie du canton. Merci de cette aide précieuse.
Je garde en mémoire une femme discrète, efficace et coquette. Au journal, tu as été notre trésorière ; tes rapports étaient toujours simples, clairs et concis. L’incompétent en comptabilité t’en remercie.
Au Reflet, discrète et efficace, tu as tout fait, de la décoration du local au montage en passant par Madame Météo. Merci, Jacqueline, pour toutes tes attentions et ces années de généreux bénévolat.
Daniel
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À l’automne 1997, je commençais à apprendre le fonctionnement d’un ordinateur. Sans trop m’en rendre compte, je commençais à faire partie de l’équipe du journal. Je ne connaissais rien et Jacqueline savait tout. Elle était tellement disponible à répondre à toutes mes questions, à tout moment de la journée et même la fin de semaine ! Elle me donnait toujours l’impression de ne pas la déranger.
Au fil du temps, elle m’a expliqué tout le contenu du local. Souriante, patiente, généreuse, compétente, avec un œil d’artiste et le sens du beau.
Rapide à apprendre, à synthétiser, à analyser. Rapide à s’organiser et à m’organiser avec une approche diplomate efficace.
Vers 2002, un dimanche, un de mes fils étant prêt à m’aider à peinturer les murs du local, j’appelle Jacqueline. Elle se présente quasi instantanément pour peinturer. Quelle énergie !
De 1987 jusqu’à tout récemment, même en ayant quitté le conseil d’administration, elle participait au montage des articles avec les textes sur papier. Étape importante.
J’ai côtoyé pendant 25 ans cette Jacqueline Pelchat-Bouffard dynamique, encourageante, professionnelle ; un très beau modèle de femme.
Jacqueline, je ne te remercierai jamais assez pour toutes tes attentions ponctuelles, tes enseignements judicieux, ta participation plus que nécessaire.
Ghislaine
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Depuis le début du journal, Jacqueline, tu fus désignée à son montage.
Tu avais l’œil artistique qu’il fallait pour cette tâche. Précise et vigilante, tu as toujours su, avec brio, mettre tes talents au service du journal et cela, avec sourire et bonne humeur.
Même après avoir laissé l’équipe du C. A., tu as continué ton beau travail au montage pendant plusieurs années.
Au fil des ans, ce travail avait beaucoup changé, mais ça prenait toujours quelqu’un pour vérifier le tout.
Merci pour tout.
Manon
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J’ai connu Jacqueline à mon entrée dans le C. A. du journal Le Reflet. Elle avait le poste de trésorière qu’elle m’a transmis.
Ensuite, elle m’a invitée à venir avec elle pour faire le montage du journal. Elle m’a tout appris. Par quelle page on commence, quelle est la suite des rubriques, où on met les publicités, les annonces, les publications gouvernementales. Et comment combler toute la page : « Tiens, Suzanne, cet article pourrait aller avec celui-là, cette pensée prendre ce petit bas de page. » Toutes ces années, on en a eu du plaisir à faire toutes les parutions.
Durant la pandémie, Ghislaine Pezat nous envoyait un premier jet et Jacqueline et moi, par téléphone, nous le révisions.
Jacqueline avait, durant toutes ces années au Reflet, à cœur de présenter à la communauté un journal de qualité.
Merci, Jacqueline.
Suzanne
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Jacqueline, je t’ai vue à l’œuvre au montage. Je te regardais « voir » la page dans ta tête. Et le résultat était beau.
Lors des grands Festivals des traditions écossaises, tu avais dessiné un cahier à colorier pour recueillir des fonds. Tous les talents. Et offerts généreusement.
Mais c’est surtout au C. A. que j’ai pu apprécier tes grandes qualités humaines.
Tu as des convictions. Et tu les défends. Tu savais, par exemple, réagir avec vivacité devant les amicales provocations de Daniel.
Mais en même temps, tu acceptais qu’on ne pense pas comme toi. C’est une grandeur intellectuelle pas assez répandue.
En ces temps où la plus élémentaire civilité semble devenue facultative, tu es un modèle de respect des autres. Et ça, c’est encore plus grand que ton œil d’artiste.
Merci, Jacqueline.
Marcel
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Constance, Danielle, Monique et André, membres du C.A., se joignent à tous pour te remercier de ton apport au journal. R



Jacqueline posant fièrement
avec le 1er prix pour la conception graphique, format magazine,
au congrès de l’Amecq de l’an 2000.
Crédit photo: Amecq.